Un b ? Où ça ?
EDIT.: Ah c'est bon je l'ai trouvé, le coquin.
Loque a écrit : et cette phrase que je n'ai pas bien compris : "« C'est pour que tu te défoules et que tu arrêtes de frapper tes camarades de classe. Ainsi, tu pourras te faire des amis » lui répète-t-elle à chaque fois qu'elle conteste."
En fait, c'est "il conteste", je me suis trompé de genre. (je l'ai corrigé, donc logiquement il devrait plus y avoir de problème). Et en fait, c'est lui qui conteste le fait d'aller faire de la boxe.
Loque a écrit : Mais sinon, j'adore, je veux la suite !
Cobra a écrit : Comme il était trop tôt, il garda les yeux fermés b pensant pouvoir se rendormir, mais il sentit quelque chose s'appuyer sur ses pieds.
Les yeux fermés b
Mais bref, ta fic m'a beaucoup plu car j'avais écrit une fic qui avait un peu le début, je la terminerai et la posterai si j'ai pas la flemme. xD
Ah et ok pour l'autre phrase
Edit : bon ok alors pour le b
Oh chouette, une autobiographie !
Bon, tu sais ce que je pense - ton choix de ville est très intéressant -. Pour ceux qui savent pas où c'est, St-Etienne, voici un plan :
Bref, j'ai fait une petite nouvelle, mais comme c'est un travail pour l'école j'ai essayé de m'appliquer et de ne pas la faire trop petite.
Le thème, c'était juste de faire une nouvelle réaliste (ça tombe bien, je ne suis pas fan du style !)
Spoiler :
Disparition désirée
J'habitais Bruxelles. Dans une petite maison, certes, mais à Bruxelles, c'était déjà pas mal ! C'était un mardi matin, le 5 mars 2013. Le temps était calme, il ne pleuvait pas et n'y avait pas de vent. Ma chambre était vraiment en désordre : des sous-vêtements traînaient à l'arrière et sous mon lit, on pouvait retrouver des paquets de chips et de bonbons vides, des boîtiers de jeux vidéo et des feuilles de cours un peu partout dans la pièce (c'était pour ça que je ne les retrouvais jamais en classe !). Mais tant pis, cette pièce était peut-être un désordre monstrueux mais j'arrivais à m'y retrouver... plus ou moins.
Il était 7h25 ; ça voulait dire 5 minutes avant que mon idiot de réveil interrompe mes ronflements et avec eux, mon rêve où je devais – encore une fois – me voir super beau avec plein de muscles. Ce qui, bien sûr, n'était pas le cas dans la réalité, où j'étais petit, rond et affreusement laid. Mon frère me répétait à chaque fois que j'exagérais, mais venant d'un beau gosse absolu, ce n’était pas très crédible...
« Tu n'es pas petit ; 1m60, ce n'est pas mal pour quelqu'un de 15 ans ! »
« Ce n'est pas parce que tu n'as pas de muscle et juste un tout petit peu de gras que tu es rond ! »
« Tu n'es pas laid ; c'est normal d'avoir quelques boutons à notre âge ! »
Il était lourd. Et puis il me répétait exactement la même chose à chaque fois que je faisais ma "crise d'adolescence" (ce qui voulait dire souvent). Alors, à force, ça ne passait plus...
Voilà, 7h30, mon beau rêve s'arrêta net et je redevins moche ; j'avais 45 minutes pour être à l'école.
En essayant de me réveiller correctement, je tombai du lit et m'étalai sur des chaussettes et mon cours de français. En me redressant, je déchirai une petite dizaine de pages au passage. Tant pis, avec un peu de chance, je n'en aurai pas besoin.
J'avançai tranquillement vers la salle de bain : je sortis de ma chambre donnant sur un couloir, tournai à droite jusqu'à la porte au bout de celui-ci. Soudain, je sentis un courant me refroidir littéralement, je tremblai comme une feuille avant de me rendre compte que je dors sans aucun vêtement depuis deux ans ; j'étais bon pour me retaper deux fois le même chemin.
Comme j'avais froid, je marchais un peu plus rapidement, en direction de ma garde-robe. Je pris les premiers trucs qui me tombaient sous la main. Mais il ne me restait plus aucun boxer. Pas grave, à chaque problème sa solution : je me retournai et j'en vis un tout beau tout frais en face de moi, juste au-dessus de ma couverture, en plus il était de la marque Hom, ma favorite !
Juste après, je refis le même chemin jusqu'à l'endroit où me laver, mais arrivé devant la porte, j'entendis l'eau couler : c'était mon frère qui avait pris possession de la pièce (et bien sûr, il avait fermé la porte à clé). J'étais bon pour attendre 20 minutes. Je m'assis donc en tailleur devant la porte (je mis quand même mon boxer pour ne pas rester nu ; j'aurais eu l'air bête !).
On était faux-jumeaux, mais ça, si on ne le disait pas, il n'y avait aucun moyen de deviner qu'on était frères !
D'un côté, Alexis, le beau gosse latiniste ayant sauté une classe et qui se mettait un litre de lotion pour ne pas qu'on voie sur lui le moindre bouton, et moi, Achille, le flemmard qui avait doublé une fois sa deuxième et dont il ne restait rien contre l'acné après le passage de l'autre !
Et ce n’était pas tout, les différences physiques étaient nombreuses : la taille, il faisait presque une tête en plus que moi ; les muscles, il en avait énormément tandis que moi j'étais tout rond ; la pilosité, il avait déjà plein de poils sur les jambes, le torse et partout ailleurs sur le corps et moi j'en avais à peine trois qui me poussaient sous les bras !
On avait juste quelques points communs : la peau bronzée, les yeux bruns et les cheveux châtains, mais les miens étaient longs et hirsutes alors que les siens étaient courts, lisses et bien coiffées...
Franchement, avoir un jumeau qui, en tout point, était meilleur que moi, m'énervait réellement. Si seulement, au moins, il me laissait faire mes preuves !
Il y avait des fois où je me disais que ça aurait été cool qu'il disparaisse !
Après plus d'une vingtaine de minutes d'attente, il ouvrit enfin la porte, me voyant donc assis en tailleur.
« Achille, qu'est-ce que tu fais assis comme ça ? Tu as vu l'heure qu'il est ? Dépêche-toi ! »
Pfff, et il fallait encore qu'il se plaigne. J'entrai donc dans la douche en évitant à tout prix le miroir et me lavai en vitesse, sans quoi je me serais fait sermonner par ma mère, Hélène. Son mari était décédé quand j'avais 5 ans. En tout cas, on pouvait dire qu'elle assurait à gérer comme ça deux gosses. Moi je l'aimais bien ; c'était la seule dans cette maison qui me comprenait, mais j'avais de la peine pour elle : depuis le décès de papa, elle n'avais jamais essayé de se remettre avec quelqu'un, la pauvre...
Parfois, j'avais l'impression qu'Alexis cherchait à se la jouer paternelle en me grondant quand je faisais une trop grosse connerie. Mais ça, c'était hors de question : il pouvait toujours rêver, jamais il n'aurait remplacé notre père !
Après la douche, je courus chercher mon sac, descendis les escaliers et embrassai maman. Puis, après un déjeuner vite-fait, je montai dans la voiture pour l'école.
Comme j'étais le dernier arrivé dans l'auto, je me mis – encore – dans un des sièges à l'arrière, celui du copilote étant occupé par mon fayot de frère.
Arrivé dans la cours de l'école, Alexis entra directement dans l'école pour étudier pour la centième fois sa leçon de math. Moi, je me dirigeai vers un petit coin sombre de la cours, qui était caché par quelques sapins et buissons.
Il y avait deux gars : le premier s'appelait Maxime, mais tout le monde l'appelait Max. S'il avait l'air super vieux par rapport à moi c'est car il avait déjà doublé trois fois. L'autre était noir, il avait un prénom africain très dur à prononcer alors je l'appelais Mamadou, ça me faisait rire, mais j'étais seul à trouver ça marrant. Je ne devais pas l'appeler comme ça trop souvent, car il n'aimait pas ça, et surtout car il faisait de la boxe depuis qu'il avait 10 ans !
« Hey, Achille, tu n'aurais pas du feu ? » me demanda Max.
Je fis non de la tête ; cet idiot savait très bien ce que je pensais de la cigarette et il me demandait de quoi l'allumer tous les jours... Il était vraiment bête.
« Qu'est-ce qui a ? Tu fais encore ta tête à cause de ton frère ? » me dis Max d'un air paternel que je haïssais.
Il était soûlant à prendre un air de père, il savait très bien que ça m'ennuyait. Pour la peine il se prit un vent.
Mamadou, qui ne pouvait s'empêcher de rire à la situation, mit un temps avant de reprendre son calme et prit la parole :
— Tu sais, Achille, si ton frère t'ennuies tant que ça, tu n'as qu'à nous le dire ; on se fera une joie de le faire disparaître pour toi !
Il sortit de son sac un poignard qu'il avait obtenu il y avait quelques mois et me le montra. Je ne sais pas s'il plaisantait ou non, mais la discussion prenait une allure qui ne me plaisait pas du tout. Alors, je pris mes affaires et me dirigeai vers la classe d'un pas rapide, en n'ayant rien répondu. De toute façon, la sonnerie avait retenti alors ça ne changeait rien.
En classe, j'avais beau essayer de me concentrer, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à ce que Mamadou m'avait dit. J'essayais de me dire que c'était juste une mauvaise blague, mais avec eux on ne savait jamais !
Durant les deux récréations de la journée, j'essayais tant bien que mal de garder un œil sur mon frère ; il était toujours là. C'était juste une mauvais blague, apparemment.
Après les cours (une journée sans aucune note!), Alexis et moi étions chargés d'aller faire quelques commissions au supermarché du coin. Cette fois-ci, et c'était super rare, c'était moi qui l'avais attendu ! Il arriva au point de rendez-vous, s'excusa pour son retard et on put démarrer.
En chemin, je ne pouvais m'empêcher de repenser à la phrase de Mamadou, c'était pourtant une mauvaise blague, alors pourquoi je n'arrivais pas à être tranquille ?
Mais c'était plus fort que moi, je devais lui en parler :
Alexis ?
Qu'y a-t-il ?
Tout bien réfléchi, c'était une mauvais idée de lui en parler. Mais c'était trop tard ; j'avais déjà engagé la discussion. Alors je décidai de lui parler d'autre chose ; en ne lui répondant rien j'aurais encore une fois eu l'air ridicule !
« Tu sais, ça m'énerve un peu que tu sois meilleur que moi en tout ; ça me fait de l'ombre et personne ne me remarque à cause de ça ! »
Il soupira ; peut-être aurait-il mieux valu que j'aie l'air ridicule, en fait.
« Je te l'ai déjà répété, je ne suis pas meilleur que toi en tout ; tu as des qualités que moi je n'ai pas !
Peut-être... mais tu ne me laisses jamais prouver mes qualités, alors comment veux-tu que j'aie confiance en moi ? »
Il ne me répondit rien ; décidément, ce n'était pas mon jour. Durant le reste du trajet, rien ne sortit de sa bouche, ni de la mienne.
Devant le supermarché, il dit quelque chose qui me surprit :
Écoute, j'ai bien réfléchis, et tu as raison : je devrais te laisser prouver aux autres que toi aussi tu vaux quelque chose ! Alors voilà ce qu'on va faire : je vais faire les courses seul, pendant que toi tu vas rentrer à la maison. Et durant mon absence, tu pourras montrer à maman que tu es capable de beaucoup, ok ?
J'acquiesçai d'un petit oui de la tête avant de faire demi-tour vers la maison.
Une fois arrivé, je dis à maman pourquoi j'étais seul à rentrer, elle me demanda donc de l'aider dans diverses tâches, ce que je fis.
« Il est 18h30, ton frère devrait être rentré depuis le temps, non ? Vous ne mettez pas autant de temps d'habitude !
Ben d'habitude on est deux, lui dis-je pour la rassurer et me rassurer en même temps.
Oui, tu as sans doute raison ! »
Le temps passait, et plus il passait, plus je m'inquiétais. Je ne pouvais m'empêcher de repenser à Mamadou et Maxime ; ils sont derrière tout ça, j'en suis sûr ! Pour ne pas monter mon inquiétude à ma mère, je m'enfermai dans ma chambre, en angoissant.
Il était 22h00 ; c'en était trop. Je descendis en courant, m'apprêtais à aller le chercher, mais Hélène m'en empêchait.
« Il fait nuit, c'est trop dangereux. Je ne veux pas que tu disparaisses à ton tour ! Si demain il n'est toujours pas revenu, j'appellerai la police. »
Ça ne servait à rien d'appeler la police, je savais déjà qui étaient les coupables. Mais néanmoins elle n'avait pas tort, il fallait attendre. Et puis Bruxelles, c'était dangereux la nuit.
À minuit, je n'en pouvais plus ; je décidai d'aller me coucher. Quelques temps plus tard, je m'endormis.
Mon sommeil ne dura pas très longtemps ; à 6h00 du matin, je me réveillai. Je fis le tour de la maison pour voir s'il n'était pas revenu, mais non, il n'était pas là.
Ma mère étant endormie, je décidai de faire le mur et de le chercher. Je fus prêt à 6h30 ; j'avais presque deux heures pour faire le tour du quartier et être à l'heure à l'école, j'écrivis sur un bout de papier « Parti chercher Alexis. Ne t'inquiète pas, je gère ! ».
Je commençai à chercher aux alentours de la maison, puis m'éloignai au fur et à mesure. Je m'attardai aux alentours du supermarché, mais rien. Je ne l'avais pas trouvé. Il était 7h50, je me mis en route vers l'école, avec une seule idée en tête.
J'arrivai dix minutes plus tard, et me dirigeai vers les sapins. Ils étaient bien là.
« Salut Achille, fit Mamadou, ça va ? »
Il jouait avec mes nerfs, en plus. Impulsif, je lui mis un bon coup de poing du droit ce qui le propulsa quelques mètres en arrière. Il mit quelques temps avant de comprendre ce qui lui était arrivé, quand ce fut le cas, il se dirigea vers moi et en un coup de pied me mit à terre. J'aurais dû réfléchir à peu plus avant de m'attaquer à un boxeur ! Devant Maxime qui ne pouvait se retenir de rire, il me saisit par les cheveux et me demanda avec un air de caïd :
Qu'est-ce qui t'a pris de faire ça ?
C'est toi qui l'as fait, hein, avoue ! lui criai-je dessus.
Désolé je vois pas de quoi tu parles, me répondit-il.
Arrête de faire l'innocent, dis-moi ce que tu as fait à Alexis !
Je ne l'ai pas touché, ton frère. Le coup du poignard d'hier c'était une blague, hein. Faudrait que tu apprennes à réfléchir des fois !
Il me lâcha. Je me relevai puis m'éloignai d'eux. Je ne savais pas si je devais le prendre au sérieux avec sa blague de très mauvais goût. Les oublier était la meilleure solution pour moi.
La journée d'école était finie, toujours pas d'Alexis. En chemin, je réfléchis et je repensais à mes derniers moments avec lui ; si seulement, si seulement je ne l'avais pas écouté ! J'aurais pu le défendre, le protéger ! Mais à la place, je suis lamentablement rentré à la maison en le laissant là, seul. Je dus retenir mes larmes.
Chez moi, j'embrassai maman, qui était assise sur un canapé du salon. Elle ne me demanda même pas ce qui m'avait pris de faire le mur. Elle préférait attendre de nouvelles informations de la police.
Je montai dans ma chambre, quand je repensai à ce que m'avait dit Alexis : je devais montrer à maman que moi aussi je pouvais faire beaucoup !
Je redescendis donc et m'assis près de maman, j'essayais de la consoler tant bien que mal. Je lui proposai ensuite mon aide ; s'il y avait quoi que ce soit que je pouvais faire je l'aurais fait ! Elle se releva et sourit, je souris à mon tour. Elle commença par me donner quelques tâches faciles, puis elles devenaient de plus en plus grandes. Ça me faisait plaisir de l'aider, et elle aussi ; on pouvait ainsi penser à autre chose.
Cette vie dura une semaine.
Sept jours plus tard, on entendit sonner à la porte, Hélène ouvrit. Devant elle, se tenait, debout, souriant, Alexis. Il n'avait pas l'air d'être blessé, on ne voyait aucune égratignure !
Maman se jeta sur lui. Moi, je me tenais devant lui, immobile, complètement dépassé par les événements.
Voyant que je ne bougeais pas, mon frère s'approcha de moi et me serra dans ses bras, cette fois-ci, je ne pus retenir mes larmes.
Après m'être remis de mes émotions, je lui demandai :
Qu'est-ce que tu fais là ? Qu'est-ce qui t'est arrivé ?
Tu voulais montrer de quoi tu es capable, c'est ça ? Eh bien, j'ai disparu pour te laisser le faire !
Une nouvelle bien écrit, bien détaillé avec à la fois de l'émotion et du suspens, j'ai tout lus et je peux te dire que tu t'es dépassé!!
Dommage les erreurs de temps sur les verbes ("on ne sait jamais" et non "on ne savait jamais") et les quelques passages pas trop détaillé assez bâcler (c'est sur une phrase alors ça va).
Tu auras une bonne note pour ton travail mais par contre ton/ta prof va être assez choqué du travail que tu auras fais, parce-qu'avec tout se que tu as écrits (avec les espaces à chaque ligne (si je me trompe pas)), sa tiendra minimum sur deux copies-doubles et elle/il aura du mal à corriger
Merci beaucoup, ça me touche.
Ah oui et sinon, s'il y a une petite erreur de temps, c'est parce qu'au début, j'avais l'intention d'écrire le récit au présent, mais puisque qu'on revoyait les temps du passé, il m'a dit de le faire au passé. Mais du coup, à certains moments, j'ai quand même mos du présent sans m'en rendre compte. Mais ça va, le "on ne sait jamais", je crois que je sais où il est ; je le corrigerai.
Edit.: Ah oui désolé j'avais mal compris le sens de ta phrase, donc je devrais le remettre au présent, celui-là.
Et en effet, ma nouvelle fait juste un peu plus de 4 faces.
Hop ! J'ai décidé de faire une nouvelle fic et me voici avec le prologue. Pour le chapitre 1, ce sera demain. J'ai bon espoir. Il y aura également des dessins des personnages avec.
Je risque de me faire tuer par JDM, mais je prends le risque.
Spoiler :
L'accusé avança. Le juge prit place. La salle était remplie principalement par la famille des victimes qui n'attendaient qu'une seule chose et celle du coupable.
Après avoir ordonné le silence, le juge s'adressa au jeune homme de dix-huit ans menotté devant lui :
- Darkwolf, pour avoir assassiné des dizaines de personnes, hommes, femmes, enfants, et ce en les noyant, en les étranglant ou même en les brûlant, vous avez été condamné à la peine la plus lourde qui soit : il a été décidé que vous serez exilé. Avez-vous quelque chose à dire pour votre défense ?
Le jeune homme ne répondit rien. Il sourit.
《 Dans ce cas, poursuivit-il, procédons. 》
Il fit émaner une lumière aveuglante du corps de l'accusé, elle grandissait à vue d'oeil.
Le juge répéta mais en parlant plus fort cette fois-ci :
- Pour avoir assassiné des dizaines de personnes, hommes, femmes et enfants, vous avez été condamné à la peine capitale : l'exil sur Terre !
Il marqua un temps de pause.
《 Que justice soit faite ! 》
Tout se déroulera très vite, en à peine un dixième de seconde. La lumière grandissait considérablement, le juge prit son marteau, quelques personnes se levèrent, on pouvait lire sous les cheveux noirs et bleus de l'accusé de la fierté.
Ce dixième de seconde changea la vie de nombreuses personnes, plus qu'il n'y paraissait à cet instant ; quand le juge frappa avec son marteau, le jeune homme se dressant devant lui avait disparu en emportant avec lui cette lumière.
《 La justice a fait son devoir ! 》 s'exclama-t-il.
Du moins, le croyait-il.
Je sais que les guillemets sont bizarres mais ce sont ceux sur tablette. :<
J'attends vos avis !
Ah ok.
Au début je pensais à ça mais je trouvais qu'en fin de compte c'était mieux de faire comme ça.
Les deux bonus je les donnerai en fin de premier chapitre : une fois que les deux personnages principaux seront déjà décrits.
Même si toi, en fin de compte, tu les connais déjà.